Petit traité de la sagesse de vie

petit traité de la sagesse de viePETIT TRAITE DE LA SAGESSE DE VIE
Marc Halévy nous livre un nouveau traité, aussi pointu et aiguisé qu’il en a l’habitude, sur cette notion fondamentale qu’est la sagesse de vie.
Vivre ou exister.
Vivre toujours en joie ou se laisser porter par le courant.
Il est temps pour tous de comprendre ces simples mais fondamentaux mots : « deviens ce que tu es et fais ce que toi seul peux faire ». Je vous invite à découvrir quelques impressions de lecture du Petit traité de la sagesse de vie de Marc Halévy, en détails sur Terre-nouvelle.fr.


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  • Vivre ou exister

Dans un traité, alimenté tant par la philosophie que par ses observations et critiques du monde moderne, l’auteur dresse clairement les grandes lignes de son raisonnement : il faut vivre plutôt que d’exister, et vivre en joie, une joie qui se construit.
La joie de vivre est l’accomplissement de ce que l’on à réaliser en soi et autour de soi. La JOIE est la signature de cet accomplissement.
Donner plein sens à sa vie : un objectif qui devrait être celui de chaque humain.
Pour atteindre le plein sens de sa vie, cela passe donc par l’accomplissement de soi.
Cet accomplissement de soi est notre destin, notre mission de vie. Même s’il peut être difficile de remplir ce destin pleinement, cela doit être le grand œuvre de toute une vie.
Il faut, pour atteindre la joie de vivre, aller au bout de ses propres potentialités en prenant le temps de les cultiver.
Sinon, quel gâchis de vie…

  • L’égo : un déguisement

Attention aux chimères du l’égo, ces images séduisantes de l’impression de réussir dans la vie : construire une image séduisante dans le regard des autres, c’est s’évaluer en permanence à l’aune de la conformité sociale, sans aucune JOIE véritable à la clef.

    Petit traité de la sagesse de vie, Marc Halévy

    Petit traité de la sagesse de vie, Marc Halévy

  • Du politiquement non correct

Marc Halevy, qui ne parle pas avec des demi-mots, nous livre des passages aux accents politiquement incorrect.
Il explique que l’homme est un animal asocial qui ne doit vivre non en société dirigée par un Etat tout puissant mais au sein de communautés de vie à l’échelle humaine, avec des humains que l’on connait et dont on se soucie dans le réel.
L’homme n’est solidaire qu’avec ce qui l’entoure, ce qui lui est proche, ce qu’il connait. Le reste est abstrait, lointain et donc vide. C’est toute la différence entre intérêt et implication : nous avons tous intérêt à ce que la violence disparaisse dans le monde mais nous ne sommes impliqués que lorsque la violence touche l’un des nôtres.

Encore du politiquement incorrect lorsqu’il parle avec justesse de la surpopulation et de l’erreur de la notion d’humanisme universel… Je vous laisse découvrir par vous-même.
Ce sont des générations futures, de leurs réserves en matières premières, de leurs conditions de vie, qu’il est urgent aujourd’hui de s’occuper.

  • Bienveillance

La clef de voute de l’humanité se doit de demeurer la bienveillance : vouloir le bien de l’autre, et veillez à ne rien faire ni dire qui puisse nuire à quiconque… sans laisser l’envahisseur tuer les siens pour autant !

En conclusion, si vous voulez réfléchir au devenir de l’humain, tout en parlant philosophie, je vous conseille la lecture du Petit traité de la sagesse de vie de Marc Halevy.

Ami lecteur de Terre nouvelle, portez-vous bien.

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