Famine : qui survivra ?…

famine : quelle morphologie survivra ?

FAMINE : QUEL TYPE DE MORPHOLOGIE SURVIVRA ?…

La famine…
Quand frappera-t-elle à nouveau toucher nos villes, nos villages ?…
Et dans ce cas, qui survivra à la famine ?
Des études scientifiques expliquent qui serait le plus à même de survivre à une pénurie alimentaire.
Quelle morphologie pour survivre à la famine, mince, gros, maigre, en détails, article et vidéo, sur Terre-nouvelle.fr.

Quelle morphologie permet de survivre à la famine, quelle physiologie ?



Qui survivra le mieux à la famine ?

D’un point de vue physiologique, il semble, selon les résultats d’études scientifiques, que ceux qui sont le plus aptes à survivre à la famine ne sont pas ceux auxquels on pense au premier abord :

les plus maigres : ils n’ont pas de réserve graisseuse, ils ne peuvent survivre que très peu de temps à une privation de nourriture. Les plus maigres sont aussi souvent ceux qui ont un organisme au métabolisme élevé : une plus grande dépense énergétique pour un même effort, d’où un besoin alimentaire plus important et donc une moins bonne propension au stockage. Ainsi,ils n’ont pas de graisse et peu de muscles, donc peu de stock énergétique.

les plus gros : contrairement à ce que l’on peut croire, ce ne sont pas eux qui survivraient le mieux à une privation de nourriture. En effet, les personnes qui ont une réserve adipeuse la plus importante, qui sont en surpoids, présentent aussi un stockage plus important que les autres en termes de toxines. Lors d’une privation alimentaire, leur organisme mettrait en circulation les toxines de façon importante et subite : en effet, leur corps est habitué à obtenir tous les jours une bonne et importante quantité de nourriture sans faire appel aux réserves adipeuses. Ainsi, lors d’un jeûne sévère, leur organisme en puisant dans ses réserves adipeuses mettrait en circulation des toxines stockées depuis longtemps dans les graisses. Il y aurait auto-intoxication. C’est d’ailleurs pourquoi les personnes en surpoids doivent être médicalement suivies si elles veulent pratiquer un jeûne.

les athlétiques : ce sont en fait eux qui survivent le mieux à la famine. Leur corps est musclé, avec ou non une petite réserve adipeuse. Leur organisme peut facilement utiliser en cas de privation alimentaire à la fois les muscles et la réserve adipeuse, sans risque d’intoxication.
Un petit pli serait-il idéal ?…
Voilà de quoi justifier à son conjoint (à sa conjointe) que  » ces petites poignées d’amour sont une question de survie «  😉 !!!